Mercredi 28 janvier à 20h30
LETTRE À ANTONIO SAURA - Un voyage musical bouleversant entre chant et littérature, sur une histoire universelle, celle de la langue maternelle et de l’exil.

Mercredi 28 janvier à 20h30

extrait

Cher Antonio, je voulais t’écrire en djudyo avant que s’éteigne tout à fait la langue de mes ancêtres. Tu n’imagines pas, Antonio, ce qu’est l’agonie d’une langue… Pour retrouver mes mots, je dois fermer les yeux… Marcel Cohen

Lettre à entonio saura

Pour la première fois, le texte de Marcel Cohen est mis en musique et porté à la scène. L’œuvre littéraire est enlacée par les compositions originales pour voix et piano de Naïma Chemoul et Jean-Luc Amestoy. Du Français au Judéo Espagnol, l’empreinte méditerranéenne du chant de Naïma, épuré et beau, porte une bouleversante émotion : celle d’un monde riche de ses différences.

Lettre à Antonio Saura

Un spectacle envoûtant entre chant et littérature, sur une histoire universelle, celle de la langue maternelle et de l’exil. C’est la première fois en Europe que ce texte de Marcel Cohen est porté à la scène et mis en musique. Pour entrelacer l’œuvre littéraire, Naïma Chemoul et Jean-Luc
Amestoy ont créé des compositions originales pour voix et piano. Du français au judéo-espagnol, la voix de Naïma Chemoul ouvre un nouvel espace à l’imaginaire et à l’émotion, un monde riche et heureux de ses différences.
Accompagnée de Jean-Luc Amestoy, Naïma Chemoul nous offre une adaptation vocale, du parlé au chanté, des lettres de Marcel Cohen écrites à son ami peintre Antonio Saura.
Marcel Cohen est l’auteur, aux éditions Gallimard, d’une douzaine de titres. Il a reçu de nombreux prix littéraires parmi lesquels deux décernés par l’Académie française. Né en 1937 à Paris dans une famille sépharade originaire de Turquie, il a toujours entendu le judéo-espagnol* sans jamais le parler. C’est pourtant ce qu’il a tenté de faire dans son livre sur la langue maternelle et l’exil. C’est un texte à la fois grave, drôle et tendre.
A travers ces deux thèmes – la langue maternelle et l’exil – est soulevée la question universelle de l’identité mais aussi de la reconquête d’une mémoire contre l’oubli. Un texte fort, porté par la voix à la fois profonde et lumineuse de Naïma Chemoul associée à une belle présence : une Voix de Femme qui incarne une musique du monde des Suds, singulière et plurielle, métissée et intemporelle.

Naïma Chemoul : Chant et lecture /Jean-Luc Amestoy : Piano et accordéon / Jean-Philippe Hauray : son / Isabelle Ayache : Collaboration artistique

Presse Lettre à Antonio saura

« Un spectacle d’une heure et quart, sobre, plein d’émotions durant lequel les notes de Jean-Luc
s’accrochent à la voix de Naïma. A moins que ce ne soit la voix de Naïma qui se glisse parmi les
notes de Jean-Luc. Fusionnel »…
« Elle chante la femme, celle de la Méditerranée, des diasporas semées au gré des deuils et des
errances. Femme de peine mais aussi de libération. Naïma Chemoul a la voix profonde de ces
chanteuses du Sud, avec des inflexions qui scandent la joie, les douleurs ou la prière. »
Jean-André Lhopitault, la Dépêche du Midi
Naïma Chemoul et Jean-Luc Amestoy : un duo fusionnel !

Lettre à Antonio Saura

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